Galanteries finlandaises
Nous voilà habitués à quelques caractéristiques propres aux autochtones : à savoir qu'à force de se prendre depuis des mois les portes de magasins (bien lourdes d'ailleurs celles d'Aalto chez Stockmann...) dans le nez..., on a fini par comprendre qu'il n'était pas de coutume de tenir gentiment la porte pour la personne qui suit derrière...
On l'a compris mais ça nous surprend toujours autant... Du coup, on passe un peu pour des hurluberlus parce que de notre côté, on ne peux s'empêcher de tenir la porte...
C'est dans nos gênes : on nous a tellement appris que c'était malpoli de ne pas le faire...
Enfin bref, du coup, c'est un exemple pour vous montrer qu'ici, rien ne vous oblige à faire quelque chose dont vous n'avez pas envie : dire bonjour au voisin ou bien au prof dans la salle de cours n'est pas non plus toujours de rigueur... et ça aussi, ça surprend...
Pas d'obligation, pas d'engagement envers les autres. Pas de contraintes non plus d'ailleurs.
Pour en arriver à hier matin, voilà le topo : méga-verglas extra-glissant, les bras de la mule -en l'occurrence c'est moi la mule- chargés de sacs de course bien lourds (non, pas d'alcool, on vous a déjà expliqué qu'il n'y en a pas dans les supermarchés... écoutez un peu!) en train de galérer pour rentrer à l'appartement... Eh bien, oui, à ma grande surprise, un monsieur -qui galérait tout autant que moi sur le verglas- m'a pris mes paquets -il ne m'a laissé que le plus léger- et a fait tout le chemin avec moi.
Bon, il me parlait en finnois : je lui ai dit 3 ou 4 fois "Minä en puhu suomea" (Je ne parle pas finnois) mais il continuait à me parler... Je l'ai remercié tout plein avec des Kiitos (Merci) et j'étais déjà arrivée en bas de chez nous.
Alors, c'était pas grand chose je vous l'accorde, mais ça compte... Les finlandais ne sont donc pas des barbares rustres et froids! Leurs attitudes sont bien différentes par rapport aux nôtres mais ils sont tout aussi sympas, rassurez-vous!
Ok, je vous avoue bien espérer recroiser cette personne la prochaine fois!
On l'a compris mais ça nous surprend toujours autant... Du coup, on passe un peu pour des hurluberlus parce que de notre côté, on ne peux s'empêcher de tenir la porte...
C'est dans nos gênes : on nous a tellement appris que c'était malpoli de ne pas le faire...
Enfin bref, du coup, c'est un exemple pour vous montrer qu'ici, rien ne vous oblige à faire quelque chose dont vous n'avez pas envie : dire bonjour au voisin ou bien au prof dans la salle de cours n'est pas non plus toujours de rigueur... et ça aussi, ça surprend...
Pas d'obligation, pas d'engagement envers les autres. Pas de contraintes non plus d'ailleurs.
Pour en arriver à hier matin, voilà le topo : méga-verglas extra-glissant, les bras de la mule -en l'occurrence c'est moi la mule- chargés de sacs de course bien lourds (non, pas d'alcool, on vous a déjà expliqué qu'il n'y en a pas dans les supermarchés... écoutez un peu!) en train de galérer pour rentrer à l'appartement... Eh bien, oui, à ma grande surprise, un monsieur -qui galérait tout autant que moi sur le verglas- m'a pris mes paquets -il ne m'a laissé que le plus léger- et a fait tout le chemin avec moi.
Bon, il me parlait en finnois : je lui ai dit 3 ou 4 fois "Minä en puhu suomea" (Je ne parle pas finnois) mais il continuait à me parler... Je l'ai remercié tout plein avec des Kiitos (Merci) et j'étais déjà arrivée en bas de chez nous.
Alors, c'était pas grand chose je vous l'accorde, mais ça compte... Les finlandais ne sont donc pas des barbares rustres et froids! Leurs attitudes sont bien différentes par rapport aux nôtres mais ils sont tout aussi sympas, rassurez-vous!
Ok, je vous avoue bien espérer recroiser cette personne la prochaine fois!
1 commentaire:
c'est vraiment sympa ton blog...j'ai habité pendant 8 ans en Finlande et connu au moins 13 étés là-bas (ben oui fallait être sûre avant de déménager...lol)? ça fait un an que j'habite à Tahiti maintenant (tu vois le grand changement...), franchement l'hiver me manque et même le fameux "oho", tu sais pour ne pas dire "anteeksi" quand quelqu'un te bouscule dans la rue...
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