Tourisme à Helsinki
"Journée tranquille" : c'est ce qu'on s'était dit pour hier... Sauf qu'au final, on a pourcouru un bon paquet de kilomètres dans toute la ville et qu'on a même fini en apothéose par un beau sprint!
Je m'explique. En fin de matinée, nous sommes partis pour Helsinki afin de visiter la ville.
C'est certain que ça commence à être plus simple pour moi maintenant que je commence à avoir quelques repères. Bon, pas encore au top non plus... puisqu'on est partis sans carte et que je me suis quand même plantée à deux reprises... Mais c'est pas si facile que ça! Regardez cette carte : vous comprendrez qu'à chaque instant, il y a de l'eau sur votre droite ou votre gauche...
On a longé un maximum le bord de mer et la promenade était fort agréable (centre Kamppi, quartier Ruoholahti, pour rejoindre plus tard le port avec le marché couvert et finir par l'Esplanade et le centre ville commerçant).
Bref, quand Iann nous a rejoint à 19h -après sa dure journée de labeur-, on était lessivés et empressés de s'asseoir et de boire un verre... Direction pub!
C'est pas le tout, mais comme j'avais beaucoup parlé de la bonne viande de renne, nos hôtes ont souhaité y goûter à leur tour. Nous sommes donc retournés chez Kuu (là où le serveur nous avait dit que son Bourgogne venait directement de chez le viticulteur, en France) en passant par la Baie de Töölö. Nous nous sommes tous les 4 régalés. Exquis une nouvelle fois.
Il était donc l'heure de rentrer à la maison et de faire dormir les yeux... Sauf qu'avant, il fallait bien évidemment choper un bus...
Bon, jusqu'à présent, je n'avais rien contre les chauffeurs de bus... Mais, ici, les bussinkuljettaja sont des sacrés *******...
Après avoir couru pendant plus de 200 mètres pour trouver l'arrêt de bus, après avoir fait de grands signes de la main au chauffeur pour qu'il s'arrête, il ne nous manquait plus qu'une vingtaine de mètres à courir pour le rattraper. Il s'est bien arrêté à l'arrêt. Et là... Les secondes devaient être trop précieuses pour lui... Il est reparti sans nous attendre : je vous jure, même pas 10 secondes de patience pour lui et c'était bon...
Autant vous dire qu'on a bien pesté, tout essouflés qu'on était...
À notre tour de patienter... Chance : pas trop longtemps dans le froid, un autre bus est passé peu après... et s'est surtout arrêté...
Je m'explique. En fin de matinée, nous sommes partis pour Helsinki afin de visiter la ville.
C'est certain que ça commence à être plus simple pour moi maintenant que je commence à avoir quelques repères. Bon, pas encore au top non plus... puisqu'on est partis sans carte et que je me suis quand même plantée à deux reprises... Mais c'est pas si facile que ça! Regardez cette carte : vous comprendrez qu'à chaque instant, il y a de l'eau sur votre droite ou votre gauche...
On a longé un maximum le bord de mer et la promenade était fort agréable (centre Kamppi, quartier Ruoholahti, pour rejoindre plus tard le port avec le marché couvert et finir par l'Esplanade et le centre ville commerçant).
Bref, quand Iann nous a rejoint à 19h -après sa dure journée de labeur-, on était lessivés et empressés de s'asseoir et de boire un verre... Direction pub!
C'est pas le tout, mais comme j'avais beaucoup parlé de la bonne viande de renne, nos hôtes ont souhaité y goûter à leur tour. Nous sommes donc retournés chez Kuu (là où le serveur nous avait dit que son Bourgogne venait directement de chez le viticulteur, en France) en passant par la Baie de Töölö. Nous nous sommes tous les 4 régalés. Exquis une nouvelle fois.
Il était donc l'heure de rentrer à la maison et de faire dormir les yeux... Sauf qu'avant, il fallait bien évidemment choper un bus...
Bon, jusqu'à présent, je n'avais rien contre les chauffeurs de bus... Mais, ici, les bussinkuljettaja sont des sacrés *******...
Après avoir couru pendant plus de 200 mètres pour trouver l'arrêt de bus, après avoir fait de grands signes de la main au chauffeur pour qu'il s'arrête, il ne nous manquait plus qu'une vingtaine de mètres à courir pour le rattraper. Il s'est bien arrêté à l'arrêt. Et là... Les secondes devaient être trop précieuses pour lui... Il est reparti sans nous attendre : je vous jure, même pas 10 secondes de patience pour lui et c'était bon...
Autant vous dire qu'on a bien pesté, tout essouflés qu'on était...
À notre tour de patienter... Chance : pas trop longtemps dans le froid, un autre bus est passé peu après... et s'est surtout arrêté...
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